Que des bêtes

Quant aux animaux, ils sont chers à mon cœur, non seulement parce qu’ils ont le bon goût d’offrir  régulièrement des poses et attitudes particulièrement photogéniques mais aussi parce qu’à l’instar de la nature brute, ils ne trichent ni ne gâchent, ce qui en fait peut-être leur singularité par rapport  à nous.

Evidemment leur “spécialisation” leur fait perdre en richesse ce qu’ils gagnent en vérité et c’est sans doute ce qui les fragilise.

Leur richesse tient surtout dans le nombre des espèces plus que dans leur individualité, et c’est ce qui fait que  peut-être, ils nous survivront.