C’est parce que ” la photographie est la littérature de l’œil” (Remy Donnadieu)
que mes images tendent de plus en plus à l’épure, comme pour aider à voir l’illusion de la réalité, en éliminant le superflu et en luttant contre l’évidence.
Je n’écris pas un roman,
seulement une interprétation de la lecture que je fais du monde dans lequel nous vivons,
la construction mentale d’une réalité qui m’offre sa lumière à travers les ombres,
la capture de la mémoire d’un humain au cœur d’une nature qui lui survivra quoiqu’il arrive.